• Retraites : malgré la réforme, un déficit d'au moins 20 milliards en ...

    La France n'est toujours pas en mesure d'équilibrer son régime de retraites. Malgré la réforme de 2010, le besoin de financement du système à l'horizon 2020 varierait dans une fourchette de 20,1 à 24,9 milliards d'euros, en fonction des hypothèses ...

     

    Une réforme obligatoire, peu importe sous quelle forme, si l'on veut garder notre système par répartition ...

     

    Hausse des cotisations individuelles !

    ou,

    Fiscalisation totale du système des retraites !

     

    Ou, en plus sérieux, l'augmentation de l'âge de départ pour tous ... ( La solution la plus logique compte tenu de l’allongement de la durée de vie). Ce qui n’empêche pas quelque exceptions dans les emplois les plus éprouvants, (sûrement pas en généralisation pour la fonction publique).

     

    Et, à ne pas oublier la suppression totale des retraites abusives des catégories ayant obtenues leurs privilèges pour raisons politiques ou par les grèves bloquantes ...

     

    Là aussi, il ne faut rien attendre de nos syndicats politisés et hommes politiques gauchisants tous, n'ayant qu'un seul but, celui non de défendre l’intérêt économique de tous, mais seulement les leurs et ceux de leurs amis politiques de la fonction publique. Leurs presque seuls adhérents !

     

    Il faudrait que les classes ouvrières et autres employés de l'industrie et du commerce soient totalement débiles pour suivre dans leurs délires utopiques des syndicats et politiques à la recherche permanente de tous les moyens d'accaparation de l'argent gagné par le secteur privé.

    Entrepreneurs et employés tous sur la même barque du risque. ( je ne parle pas des patrons des multinationales qui eux de par leur internationalité, n'ont pas se risque, seuls leurs employés et ouvriers l'ont).

     

    Ce uniquement pour maintenir politiquement leurs prorogatifs d'avantages financiers et corporatifs.


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  • Parisot : "Il faudra à nouveau repousser l'âge légal de départ à la ...

    La présidente du Medef a estimé dimanche que la réforme menée sous la présidence de Nicolas Sarkozy est insuffisante et qu'il fallait œuvrer pour repousser l'âge minimum de départ à la retraite à 63 ans. Sur le même sujet. « Retraite : quels contours à la ...

    Laurence Parisot prône un recul de l'âge de départ en retraiteLe Point

    Laurence Parisot dénonce la "folie fiscale" en FranceBFMTV.COM

     

    Ni électorale, ni populaire, est-ce-que dire la vérité aux Français va un jour devenir de règle chez les politiques, principalement ceux de gauche.

    Ce que dit Madame Parisot est sûrement la vérité, les chiffres parlent d'eux-même,    (pas assez de cotisants, trop de retraités et de retraites avec privilèges), il est impossible de les faire mentir ces chiffres, c'est ou payer plus ou, réduire le nombre de retraités ou encore, la valeur des retraites et pour tous, supprimer les privilèges illégitimes et eux déjà payés par nos impôts.

    Ce qui n’empêche pas nos syndicalistes et politiques de gauche de soutenir le contraire, mais sans argent pour payer les retraites, il ne leurs restent que la solution, de là aussi, faire payer les riches !!! (Je ne sais pas s'ils vont pouvoir payer tout ce qu'on veut leur faire payer, nos riches, soit tous les déficits et mensonges de la mauvaise gestion gouvernementale).

    Ou, comme pour la fonction publique, fiscaliser la totalité des retraites … Ce par simple justice sociale, il n'y a aucune raison légale qu'il y ait des différences de retraites et de financement des retraites entre le public et le privé

     

    Un choix purement politique et de justice sociale ou l’économie n'a rien à voir … Évidemment , pour les contribuables payeurs, ce n'est pas très électoral !!!

     

    D’où, un sérieux problème pour notre gauche ...

     


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  • Retraites complémentaires : un rabot inéluctable

    Les choses se sont accélérées, vendredi, lors de la deuxième séance de négociation sur les retraites complémentaires qui doit déboucher, d'ici à mars, sur un accord paritaire visant à rééquilibrer les comptes des régimes Agirc (cadres) et Arrco (tous...

    Négociations crispées sur les retraites complémentairesLibération

    Retraites complémentaires : la bombe à retardementLe Républicain Lorrain

    Articles de fond :Retraites complémentaires : des revalorisations en berne en 2013 ?

     


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  • Nos retraites,

    Une différence financière qui va encore s'accentuer avec celles du secteur public de par la mise en difficulté des caisses AGIRC et ARRCO, retraites complémentaires. Elles basées uniquement sur les cotisations des futures ayant droit...

    Pourquoi pas, tout comme la caisse destinée à la fonction publique, ne pas faire financer les manques financiers par l'impôt.

    Juste un problème de justice sociale, tant vantée par Monsieur Hollande lors de sa campagne électorale …

    A voir, avec la générosité et le bon sens d’équilibre et d’équité social de nos Députés.


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  • Les Retraites fonction publique...

    Le régime des fonctionnaires est plus avantageux que celui du privé dans son mode de calcul: 6 derniers mois pris en compte, par opposition aux 25 meilleures années dans le privé. Réversion en cas de veuvage sans conditions de ressources, etc. En 2010, pour payer les retraites de ses fonctionnaires, l'Etat a versé 28 milliards d'euros, soit, comme employeur, un taux de cotisation de 62,14%. En comparaison, dans le secteur privé, ce taux employeur n'est que de 15%. Un écart qui mesure concrètement les avantages dont bénéficient les agents publics titulaires mais qui, pour Bercy, s'explique notamment par l'assiette de cotisations plus faible (elle ne comprend pas les primes). 

     

    Retraites et primes dans la Fonction publique | Ministère de la ... 

    Retraites et primes dans la Fonction publique- 05/08/2011

    Une des différences majeures entre le régime des retraites du secteur privé et celui du secteur public est le mode de calcul des pensions. Dans le secteur privé, le calcul se fait sur les 25 meilleures années de salaire pour la retraite du régime général contre les 6 derniers mois dans le public.

    Cependant, dans le régime privé, ce calcul comprend l'intégralité du salaire, y compris les primes, à la différence du public où le régime indemnitaire n'est pas pris en compte.

    La rémunération des fonctionnaires se compose en effet d'une rémunération principale (appelée traitement indiciaire) à laquelle s'ajoutent des primes.

     

    Les primes peuvent être attribuées selon :

     

    • le grade : indemnité d'administration et de technicité, indemnité d'exercice de missions des préfectures... ;

       

    • les fonctions exercées : spécialiste informatique... ;

       

    • les situations spécifiques : travail de nuit, heures supplémentaires...

     

    Depuis la réforme des retraites de 2003, cette différence entre les régimes public et privé a été partiellement réduite. En effet, depuis 2005 un nouveau régime obligatoire par points a été institué sur les primes pour les fonctionnaires des 3 fonctions publiques. Ce dernier permet aux fonctionnaires d'acquérir une retraite en cotisant sur leurs primes et indemnités dans la limite de 20 % de leur traitement indiciaire. Il s'agit du régime additionnel à la Fonction publique sur les primes (RAFP), qui vient en complément du régime des pensions.

    Ce nouveau régime produira ses effets progressivement, les premières cotisations ayant été versées qu'à compter de 2005. Pour autant, les agents ayant un taux de primes élevé disposeront de fait d'un taux de remplacement plus faible que leurs homologues du privé. C'est le cas, par exemple, des cadres pour qui les primes peuvent représenter 40 à 50 % de leur traitement.

     

    Combien coûtent les régimes spéciaux de retraites ?

    Le budget pour les régimes spéciaux de retraites s’élève à 6,5 milliards d’euros en 2013.

    Le budget 2013 prévoit 6,5 milliards d’euros pour équilibrer les régimes spéciaux de retraites, et ce malgré les réformes de 2008 et 2010 de Nicolas Sarkozy. A cela s’ajoute encore 1,2 milliard d’euros de Contribution tarifaire d’acheminement pour financer les régimes de retraites des agents d’ EDF et GDF. Au total, 7,7 milliards d’euros de subventions publiques seront apportés pour équilibrer les régimes spéciaux de retraites en 2013, soit 1 point de TVA.

    Les régimes spéciaux de retraites concernent principalement les retraités de la SNCF et de la Ratp, les anciens mineurs et les anciens agents de la Seita.

    Le subvention pour les régimes spéciaux de retraites sera revue à la hausse en 2013, avec 175 millions d’euros supplémentaires.

    Les régimes spéciaux de retraites seront donc financés à 67% par l’ Etat en 2013, et cela ne va pas s’arranger. En effet, le montant des subventions aux régimes spéciaux de retraites sera porté à 6,7 milliards d’euros en 2014, puis à 6,8 milliards d’euros en 2015.

    Au final, les réformes des régimes spéciaux de retraites mises en place parSarkozy en 2008 et 2010 n’auront qu’un effet très progressif et relativement limité sur le coût des régimes spéciaux de retraites.

    source: BFMTV

    Autres:

    Retraite additionnelle de la fonction publique - Wikipédia 

    fr.wikipedia.org/.../Retraite_additionnelle_de_la_fonction_p...Partager

    [PDF] 

    Rapport sur les pensions de retraite de la - Fonction publique 

    www.fonction-publique.gouv.fr/.../Jaune2012_pensions.pdfPartager

     

     

     


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